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bonjour catherine
une soupe froide quand il fait chaud
une recette sympathiques
a+ "jazz"
Par jazz, le 30.06.2018
BONJOUR N'hésitez pas a venir faire une petite visiste et me laissez commentaires et suggestions ;merci
Date de création : 23.03.2018
Dernière mise à jour :
12.11.2018
15 articles
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PARMENTIER DE POULET ET CHOU-FLEUR
Pour 6 personnes - 30 min.-cuisson 35min
.-prix moyen -recette facile et abordable
INGREDIENTS :
700 g de filets de poulet - 2 petits choux-fleurs -
1,5kg de pommes de terre
à chair tendre -huile d'olive-2 échalottes hachées
-muscade-sel-poivre
_____________________________________________________________________
1°) Coupez les filets de poulet en gros dés. Détaillez les choux-fleurs en fleurettes, et réservez les pieds
Epluchez les pommes de terre et coupez les en cubes .
2°) Chauffez l'huile d'olive dans une poêle et et faites colorer les dés de poulet .Disposeez le ensuite dans un plat allant au four .
3°) Décoller les suc de cuisson de la poêle avec les échalottes hachées et un filet d'eau .Versez le jus sur le poulet et versez le jus sur le poulet.Assaisonnez et mélanger.Enfournez à 90° (th.3), jusqu'a ce que la température à coeur soit de 60°C, environ 15 minutes.
4°) Ffaites cuire les fleurettes et les pieds de choux - fleurs à la vapeur .Faire cuire les pommes de terre à l'eau et réduisez -les en purée avec de l'huile d'olive .Assaisonnez de sel ,poivre et muscade .
5°) Retirez le jus de poulet et mixez les morceaux de poulet avec les pieds de choux-fleurs et un peu d'huile d'olive .
6°) Dressez dans un plat le poulet mixé et déposez la purée de pomme de terre par-dessus.Ajoutez les fleurettes de choux-fleur , puis versez le jus de poulet .Réchauffez au four à 1800 C(th6), puis servez .
Découvrez la recette de Brioche maison, une recette simple qui prend du temps, mais qui le coup. À déguster au petit déjeuner, nature ou accompagnée de confiture ou de bon chocolat.

Ingrédients / pour 4 personnes
INGREDIENTS
*****************************************************************************pour 4 personnes
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Les Égyptiens de l’Antiquité divinisent le chat sous les traits de la déesse protectrice Bastet, symbole de la fécondité et de l’amour maternel, dont le culte se situe principalement dans la ville de Bubastis. Les archéologues ont découvert de très nombreuses momies de chats qui montrent à quel point les Égyptiens les vénèrent ; on peut voir ces momies, entre autres, à Paris (musée du Louvre), à Londres (British Museum) ou au Caire (Musée égyptien du Caire)102.
En guise d’animaux chasseurs de rongeurs, la Grèce antique ne connaît longtemps que les mustélidés (furets et belettes). Ce sont les Phéniciens qui volent aux Égyptiens quelques couples de leur animal sacré pour les revendre aux Grecs. Aristophane cite même la présence d’un marché aux chats à Athènes102,A 10.
Les Romains, en revanche, vouent une passion aux gros animaux agressifs, et plus tardivement au chat : d’abord réservé aux classes aisées, l’usage de posséder un chat se répand dans tout l’Empire et dans toutes les couches de la population, défendant les récoltes et les greniers contre la menace des rongeurs habituels, et assurant la dispersion de l’animal dans toute l’Europe102. Mais ces mêmes Romains, afin d'éviter que la zoolâtrie égyptienne ne gagne les terres de l’Empire, donnent au chat une réputation sulfureuse en l'associant à la luxure, comme en attestent les graffiti obscènes de lupanars de Pompéi qui accolent le nom de « chatte » (felis, plus tard catta, d'où le glissement pour désigner le sexe féminin) ou de « petite chatte » (felicula) à celui d'une prostituée103.
En principe, l’image du chat est positive dans l’islam en raison de l’affection qu’éprouve Mahomet, sauvé de la morsure d’un serpent par un chat104. À l’inverse, le chat est satanisé dans l’Europe chrétienne durant la majeure partie du Moyen Âge, manifestement en raison de son adoration passée de la part des païens et surtout de la réflexion de la lumière dans ses yeux, qui passe pour être les flammes de l’Enfer. Dans la symbolique médiévale, le chat est associé à la malchance et au mal, d’autant plus quand il est noir, ainsi qu’à la sournoiserie et à la féminité. C’est un animal du diable et des sorcières105. On lui attribue des pouvoirs surnaturels, dont la faculté de posséder neuf vies102,A 11. Dans certaines régions françaises, la légende attribue au matagot, un chat noir diabolique, la possibilité de rendre riche son maître en lui rapportant chaque nuit des pièces d'or106.
Toutefois le chat est un animal courant et banal107 tout au long du Moyen Âge et on lui reconnaît un rôle prophylactique108. Sa fourrure est couramment un objet de commerce109.
Cependant, la Renaissance marque un certain retour en grâce du chat, principalement en raison de son action préventive contre les rongeurs, dévoreurs de récolte. Les Grandes découvertes et la mise au jour d’espèces exotiques jouèrent également un rôle certain. L’empereur Charles Quint emporte ainsi avec lui lors de sa retraite au monastère de Yuste deux petits chats brésiliens qui lui ont été offerts par sa sœur Catherine de Portugal110.
Une première tentative de réhabilitation est la célèbre Histoire des Chats : dissertation sur la prééminence des chats dans la société, sur les autres animaux d’Égypte, sur les distinctions et privilèges dont ils ont joui personnellement (1727) de François-Augustin de Paradis de Moncrif. L’auteur y prend la défense du chat à travers des références historiques, notamment à l’ancienne Égypte, qui se veulent érudites et constituent en réalité un pastiche de la pédanterie
Vers 1727, avec l'invasion massive du rat gris en Europe, les chiens ratiers, comme l'Affenpinscher, prennent la place des chats impuissants face à ce rat plus gros et agressif. Le chat perd ainsi son rôle de prédateur pour devenir progressivement un animal de compagnie112. Malgré de nobles exceptions comme les chartreux de Richelieu ou le persan blanc de Louis XV, le chat ne connaît son véritable retour en grâce qu’à la faveur du romantisme : il devient l’animal romantique par excellence, mystérieux et indépendant ; le chat noir devient quant à lui un des symboles récurrents du romantisme noir à la même période113. Toujours au xixe siècle, il se retrouve également symbole du mouvement anarchisteA 12 (France), à travers son image poétique, autonome et gracieuse. Le xxe siècle, quant à lui, garde cette vision romantique tout en s’intéressant au chat d’une manière plus scientifique.
Bastet, la déesse chat
«
Dieu a fait le chat pour donner à l’homme le plaisir de caresser le tigre. » Joseph Méry, La Comédie des Animaux
Un allié élevé au rang de divinité
L’Égypte ancienne, fille du Nil, entreposait les céréales. Les greniers pleins de grains attiraient les rongeurs voraces et souvent porteurs de maladies. Le chat, en éliminant la vermine, préservait la population de la famine, ce qui lui valut rapidement le statut tout à fait mérité de divinité. En Égypte, le chat est sacré.
Lorsqu’un chat meurt, sa “famille” porte le deuil. Malheur à celui qui sera responsable de la mort d’un chat : il sera exécuté comme en témoignent les écrits de Diodore de Sicile (Diodorus Siculus), un historien grec auteur de la première histoire universelle. De nombreux témoignages picturaux illustrent la vénération vouée à Bastet, la déesse chat. De nombreuses momies de chat ont été retrouvées, preuves que les chats recevaient les rites funéraires et l’embaumement, au même titre que leurs propriétaires.
Néanmoins des travaux archéologiques récents ont permis de démontrer que des chats (souvent des chatons) étaient délibérément sacrifiés et momifiés à des fins commerciales, vendus comme reliques aux pèlerins. Les Égyptiens gardaient précieusement leurs chats et veillaient à ce qu’ils ne quittent pas le territoire. Cependant, les échanges commerciaux entre l’Égypte et ses voisins a permis l’extension géographique de F catus autour de la Méditerranée. Avec le déclin de l’Égypte, le chat perd son côté “divin” au profit de celui d’animal de compagnie, comme en témoigne de nombreuses sculptures gréco-romaines. Ce n’est qu’au début de notre ère, que l’intérêt du chat chasseur de vermine sera formellement établi. Les Grecs et les Romains utilisaient surtout des furets et des putois pour se débarrasser des rongeurs.
Momie de chat

L’extension géographique du chat domestique est due aux Romains qui l’ont introduit en Europe du Nord, comme en attestent des découvertes archéologiques du 4ème siècle en Grande-Bretagne. Le chat semble avoir le pied marin et c’est par voie maritime et fluviale que l’espèce a gagné l’Asie mineure, la Scandinavie et l’Europe entière.
Le Moyen Âge, période noire pour les chats
Après le déclin des civilisations grecques et romaines, en Europe, le Moyen Âge et son obscurantisme déclarent la guerre aux chats. Accusés de sorcellerie, créatures maléfiques, fourbes et retors, les chats (surtout les noirs) sont victimes de sévices et de rites expiatoires : brûlés, précipités du haut des clochers ou emmurés vivants, rien ne leur est épargné. Cette extermination massive des félins a probablement joué un rôle dans la propagation de la peste noire. La maladie est en effet transmise par les puces des rats qui ont pu proliférer en l’absence de prédateurs.
Les temps modernes
À compter du 18ème siècle, la gent féline retrouve une certaine popularité et l’engouement général pour le chat ne fait que croître depuis. À l’heure d’internet, les sites proposant photos, vidéos et histoires de chats sont les plus visités et les publicitaires ont désormais reconnu le pouvoir vendeur de notre félin domestique. L’urbanisation, les changements dans le mode de vie, les habitations verticales, l’exigüité des logements ont concouru à faire redécouvrir le chat. Cet animal demande en apparence bien moins d’attention qu’un chien. Il est discret, il reste seul sans se plaindre ni déranger les voisins, il n’est pas nécessaire de le sortir pour ses besoins et pourtant, il nous apporte une présence apaisante ou un compagnonnage bienveillant. Dans de nombreux pays industrialisés, il est désormais l’animal de compagnie numéro un, détrônant le chien dans nos maisons et dans nos cœurs.
En Asie, si le chat continue à être consommé comme viande dans certains pays, il bénéficie par ailleurs d’une aura sacrée et a la réputation d’éloigner les mauvais esprits depuis bien avant notre ère.
La prescience féline demeure mystérieuse, mais de nombreux possesseurs témoignent de comportements étranges avant les séismes, ce qui n’est peut-être pas étranger à la vénération qu’on leur porte.
Au Japon, la plupart des commerces hébergent un Maneki Neko en signe de prospérité. La Thaïlande donna le Siamois, chat impérial, au reste du monde au 19ème siècle.

Histoire et origine du chat

Jusqu’à récemment on pensait que les relations homme – chat avaient commencé environ 2000 ans avant J.-C.
Les premiers fermiers, en stockant leur récolte, ont inévitablement attiré les rongeurs. Le chat a alors très rapidement identifié une source quasi inépuisable de proies. Il est probable que des félins curieux et peu craintifs se soient installés à proximité des villages primitifs, tirant parti de la manne de muridés. Ces intérêts convergents ont motivé l’instauration d’une relation de bon voisinage avec l’homme. L’Homo sapiens (ou un de ses enfants) a, sans aucun doute, recueilli un jour un chaton orphelin, initialisant ainsi un processus d’apprivoisement (habituation d’un animal sauvage au contact de l’homme).
Cette théorie était étayée par des peintures murales et des tombes égyptiennes. En 1984, une mandibule de chat a été découverte au cours de fouilles dans le village néolithique de Khirokitia, sur l’île de Chypre. Comme nous le savons tous, les chats ne sont pas particulièrement attirés par la natation ! Or Chypre est une île… On peut, par conséquent, conclure que les ossements découverts appartenaient à des animaux qui ont accompagné les premiers colons. La découverte plus récente – publiée en 2004 – du squelette d’un chaton de huit mois enterré aux côtés d’un jeune adulte à Shillourokambos, toujours à Chypre, permet de conclure que, dès 7500 ans avant notre ère, le chat avait conquis le cœur des hommes.
Flan aux framboises
4 pers.
20 min
40 min
180 min
Ingrédients
Pour la pâte :
220 g de farine
60 g de cassonade
140 g de beurre mou +
20 g pour le moule à tarte
2 jaunes d’oeufs
5 cl d’eau
Pour la garniture :
500 g de framboises
40 cl de crème fraîche épaisse
2 oeufs + 2 jaunes d’oeufs
100 g de sucre en poudre
Préparation
Pour la pâte :
Mélanger la farine, le sel et la cassonade dans un saladier.
Incorporer le beurre divisé en morceaux, en malaxant bien du bout des doigts, puis ajouter 5 à 6 cuillerées à soupe d’eau froide.
Lorsque la pâte est bien homogène, la rouler en boule, l’envelopper de film étirable et la laisser reposer 3 heures minimum au réfrigérateur.
Au bout de ce temps, préchauffer le four (thermostat 7 – 210°C).
Beurrer un moule à tarte de 24 centimètres de diamètre.
Sortir la pâte du réfrigérateur et l’abaisser au rouleau sur 3 millimètres d’épaisseur environ.
En garnir le moule à tarte en repliant le pourtour en cordon. Le guillocher et piquer le fond avec les dents d’une fourchette.
Poser un disque de papier sulfurisé sur la pâte et le lester de légumes secs réservés à cet usage.
Réduire le thermostat à 6 (180°C), enfourner à mi-hauteur et faire précuire le fond de tarte à blanc 10 à 15 minutes, jusqu’à ce que la croûte soit sèche.
Pour la garniture :
Trier les framboises en les roulant sur un linge humide, si nécessaire.
Battre la crème fraîche, les oeufs entiers, les jaunes d’oeufs et le sucre en poudre dans une jatte avec un fouet à main.
Sortir le fond de tarte du four et le délester du papier et des légumes secs, puis le laisser tiédir, sans éteindre le four.
Lorsque la croûte est tiède, disposer les framboises sur la pâte et verser la crème par-dessus.
Réenfourner à mi-hauteur et laisser cuire 30 minutes, jusqu’à ce que le flan soit pris, mais encore moelleux à coeur, c’est-à-dire un peu tremblotant.
10 minutes avant la fin de la cuisson, remonter le thermostat à 6-7 (200°C) pour dorer un peu le dessus du flan.
Au sortir du four, laisser refroidir, puis démouler avec précaution sur un plat de servi